Pl. Fin.

Oct 17, 2024Par Jean-Pascal Séguin
Jean-Pascal Séguin

Bon, me voici, me voilà dans un autre projet: obtenir mon titre de planificateur financier. Moi qui pensait naivement que je n'allais plus me lancer dans des projets académiques et des formations après l'université... Si vous avez lu mon premier article, vous savez que j'ai longuement hésité entre le titre CFA et Pl. Fin. (Le pourquoi est expliqué dans l'article). Me voilà donc, accepté au programme exécutif de l'Institut de la planification financière. Maintenant, il me reste à trouver le temps dans mon horaire pour consilier ce temps d'étude et ma carrière professionnelle. Je travaille entre 50 et 60 heures par semaine, donc, je devrais me débrouiller. 

La question qui tue: pourquoi je fais ça? Quelques raisons: continuer d'approfondir mes connaissances, mieux aider les personnes (je n'aime pas dire « client ») qui font confiance et surtout, solidifier mon nom. Personnellement, avoir ce titre m'ouvrira davantage de porte. Non, je ne compte pas changer d'emploi, mais comme mon père disait si bien: « Ne te ferme jamais des portes, jamais ». Actuellement, je sens que si je voudrais aller ailleurs, je devrais échanger quatre trente sous pour une piastre ou tout simplement changer de carrière et faire un 180. Donc, à quoi bon? Avec le titre de planificateur financier, je sens que je m'ouvre plus de portes. À voir si j'ai raison... De plus, je me considère encore comme un ti-cul sur le marché professionnel (j'ai 26 ans au moment de ses lignes). Donc, avec cinq belles lettres (régies par une autorité provinciale), je devrais faire moins ti-cul, du moins, je l'espère. 

Même si je sens que j'ai déjà de bonnes connaissances, reste à voir ce que j'en tirerai. Pour cela, il faudra le lire dans une future deuxième partie.

Je dois me mettre à étudier, justement. Donc...

Turlu! - JP